Face à l’essor de l’entrisme islamique en France, désormais combattu par l’État, l’entreprise est la grande absente. Entre temps l’entrisme s’y développe sans distinction de classe, autant sur les sites industriels que dans les bureaux.
D’autres priorités se sont imposées aux managers et aux salariés de plus en plus confrontés aux revendications islamiques. Les escarmouches racistes dans les vestiaires, les syndicats manipulés, le refus d’être dirigé par une femme manager, l’éviction des femmes des CSE les laissent sans voix. La hantise d’être catalogué de raciste islamophobe, ou d’une manif islamiste sur le parking pour une banale histoire de voile finit de les tétaniser. Qu’est-ce qui manque ?
Le droit et la laïcité ne suffisant pas, les acteurs du monde du travail et du sport se retournent vers des approches contre-productives, celles de la complaisance ou celles de la confrontation. Les deux aboutissent à dresser des barrières, à renforcer les clivages en cours entre les communautés, in fine à affaiblir la confiance et la performance des équipes. Que faire ?
Des approches importées des USA sous l’intitulé « Gestion de la diversité » sont véhiculées par les milieux académiques, les Universités, les grandes écoles de gestion. Elles s’avèrent, inadaptées en France, contre-productives, voire dangereuses. Elles finissent par livrer l’entreprise à l’habileté du prosélytisme islamique. Comment sortir de l’impasse ?
Heureusement, il y a la 3e voie, ni confrontation ni complaisance. Il s’agit de la Voie du Manager, concrète et opérationnelle à propos d’un collectif engagé au bien commun, celle étayée et documentée dans ce Guide. Elle a pour mérite de s’appuyer sur les talents des salariés soucieux de relation de confiance, des managers et des DRH.