Les deux défis, celui de la Palestine et celui de l’entrisme islamique en entreprise ont pour point commun la possibilité d’un nouveau leadership et de sa transformation en vue d’un collectif performant et bénéfique pour les acteurs et les écosystèmes concernés : les équipes, les peuples, les investisseurs, les clients, les états.
Depuis 2001, mon métier éprouvé c’est la transformation de leadership.
Constat N°1, Palestine
Malgré le soulèvement mondial contre la politique coloniale meurtrière d’Israël depuis sa création, ce même monde reste impuissant à stopper la destruction du Peuple Palestinien. Et pour cause, cette région a depuis longtemps subi les décisions prises par le haut. Ce sont les trente-trois voix des pays colonisateurs et leurs affidés qui ont fait passer la résolution ONU du « Plan de partage en deux états ». Plan adopté sous la pression sioniste, qui refusait l’autre proposition, nommée « Plan pour un Etat ». Démographie oblige, assujetti à un référendum pour la gouvernance, ce “plan” était gagné d’avance par les Palestiniens.
Cette injustice du « Plan de Partage » est depuis 1948 le ferment actif des inévitables échecs du sionisme : humanitaire, colonial, militaire, sécuritaire, démographique, sociétal, régional, citoyenneté…
La porte de sortie de l’enfer actuel n’est pas dans l’anéantissement des uns ou des autres. Sionisme et islamisme ont fait leurs preuves en tant que projets nihilistes.
Alors,
- Comment rendre au peuple Palestinien sa dignité, son énergie et ses droits sur sa propre terre ?
- Comment ré humaniser les jeunes israéliens déchainés dans l’anéantissement de l’autre et de leur propre raison d’être ?
- Quelle nouvelle vision commune et bénéfique pour ces deux peuples ?
Pour ce faire, la profonde transformation d’Israël et celle de la gouvernance Palestinienne me semblent inévitables.
