En France, il y a les « apôtres de la tolérance à sens unique ». Ils ont récemment pris le parti de favoriser l’essor actuel des tenues dites “orientales”. Cela concerne tant l’école, que l’entreprise.
J’ai pensé utile de présenter ici un exemple de tolérance en terre d’islam. C’est un autre “sens unique”. J’évite le risque d’une polémique inutile sur telle ou telle religion. J’ai choisi un courant de pensée dominant en France et en émergence dans les pays arabo-musulmans. Il s’agit de l’athéisme.
Quelle est la tolérance en terre d’islam vis-à-vis de l’athéisme ?
Il est utile de savoir qu’en Egypte, la carte nationale d’identité mentionne la religion du citoyen. Les cases à remplir ne concernent que les religions monothéistes. Le système n’admet aucune autre religion. L’athéisme ne fait partie des choix possibles. Loin de là ! Il est même fortement combattu, au plus haut niveau. Il arrive qu’un secrétaire d’état soit nommé pour combattre l’athéisme.
La vidéo ci-après, authentifiée et sous-titrée, date de 2018. Elle vous donne une idée sur la manière de penser et ses conséquences concrètes.
Quelles sont les conséquences en France, en entreprise ?
Cette mise en perspective géographique faite, revenons en France. La “tolérance à sens unique” fonctionne à plein. Les activistes islamiques en profitent. Les tenues dites “orientales” font désormais partie de la panoplie de provocation islamique. La provocation sert ensuite à victimiser, et in fine rassembler les victimes contre les autres.
Et, ça marche!
En entreprise, une fois le rapport de force établi, avec ou sans tenues “orientales”, les DRH femmes sont éjectées hors des CSE. Entre temps, ces instances sont passées, via les syndicats noyautés, sous contrôle des activistes islamiques.
Pour pallier à cette apparente fatalité, voire démonter les salles de prière précédemment consenties, il y a la voie du management incarnée et discernée.
Plus d’informations, outils de décryptage et solutions dans le livre “Le tabou de l’entrisme islamique en entreprise. Guide du Manager” Préface de Jean Kaspar, ancien SGA de la CFDT.
