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Le “burqini” en entreprise ?

Une tenue sportive!

Le conseil municipal de Grenoble vient de voter en faveur du « burqini » dans les piscines.

En juin 2018, Le Maire de Rennes l’avait justifié en l’apparentant au vêtement des compétiteurs sportifs notamment celui du Triathlon.

Chacun aura noté que, pour plus de vitesse en course et de glisse dans l’air ou l’eau, les vêtements de compétiteurs sont plutôt moulants. Etonnamment le « burqini » l’est aussi. Une fois mouillé il le devient encore plus.

Par ce fait, le Maire de Rennes, aujourd’hui celui de Grenoble, contreviennent largement à la règle du système islamique relatif au vêtement féminin :

لا بارز ولا شفاف

Prononcer: Laa barez wa laa shaffaf

Ni moulant, ni transparent

 

Une récupération politique

Évidemment, les militants islamiques ne dénonceront pas l’offense des Maires piégés. Et pour cause, comme le voile, le « burqini » est devenu un marqueur de conquête, un jalon, un clapet mental anti retour. Les femmes en ont la charge.

Photo Jeff Pachoud (*)

Ce vêtement avait émergé dans les années 70 en Egypte. Plus tard en 2003, c’est une libanaise, Aahed Zanetti, installée en Australie qui a flairé le business à faire. Elle conçoit une ligne de vêtements “burqini”. C’est une aubaine inespérée, que les militants islamiques récupèrent illico pour l’utiliser comme étendard de conquête à la plage et dans les piscines.

Les votes municipaux relatifs au port du “burqini” dans les piscines municipales à Rennes en 2018, puis à Grenoble en 2022 sont l’aboutissement du Tétraptyque promu par la confrérie des Frères Musulmans, invention égyptienne.

Le «burqini » fait partie de la panoplie féminine de conquête islamique, version « soft ». Une fois en place, cette dynamique idéologique confine les autres dans des îlots réservés, y compris les musulmans qui ne veulent pas de ce prosélytisme.

Ce syndrome a défiguré d’abord l’Egypte, puis l’Afrique du Nord. L’Europe, malgré la France pays des lumières, baisse pavillon.

La trésorerie de ladite confrérie internationale vaut celle d’un pays. Plutôt que de financer une piscine en club privé réservé aux fans du « burqini », la confrérie préfère activer le Tétraptyque susmentionné. Cette approche lui permet de s’infiltrer dans la moindre brèche légale, institutionnelle ou managériale. Il s’ensuit un entrisme actif, un prosélytisme offensif, puis l’imposition des valeurs islamiques aux dépens du reste du monde et de ses valeurs. L’électoralisme, le désir de paraître « tolérant », la peur, la paresse, l’ignorance huilent les rouages du Tétraptyque.

Le mur de la laïcité, invention typiquement française, se fissure, se brise.

Quelle option en Entreprise ?

Heureusement en entreprise, le Bien Commun n’est pas qu’idéologique. Il est opérationnel et concret.

Avec en ligne de mire la satisfaction client, la qualité des produits et des services, la fluidité opérationnel, la compétitivité et l’attractivité, les accommodements du type « Burqini-Grenoble » ne tiennent pas la route.

L’éjection hors de l’entreprise de ce type d’accommodement est de facto réalisée par le client, par l’investisseur, et par la confiance inter salariés.

AP. Boulad, auteur du livre « Le tabou de l’entrisme islamique en entreprise. Guide du manager. »

 

(*) ref Members of the pro-burkini association «Alliance Citoyenne » watch the Municipal Council on a TV screen and celebrate as members of the municipal council vote to allow the wearing of the burkini in the city’s swimming pools, in Grenoble on May 16, 2022. (Photo by JEFF PACHOUD / AFP)

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