En SUISSE …
Dans le secteur des banques privées, moins les dirigeants sont à l’aise avec leur culture d’origine conservatrice et patriarcale, voire leur misogynie, plus la tentation est grande de se cacher derrière la mode du WOKE féministe. Ces dirigeants embarrassés imposent à leurs équipes des ratios. Avec excès de zèle, ces derniers n’appliquent même pas la consigne de modération : « à compétence égale, recrutez d’abord une femme ».
La nouvelle fierté opérationnelle est : « j’ai atteint mes objectifs, j’ai plus de 50% de personnel féminin ».
Les conséquences taclent les dirigeants :
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Les salariées compétentes se voient taxées de « tu as été promue parce que femme »,
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Les salariés compétents se voient supplantés par des incompétentes,
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Les plus compétents quittent la banque,
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L’atmosphère devient délétère,
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La productivité et les performances des équipes chutent
A propos de la mode du Woke, écouter notamment sur France Culture le podcast « La culture woke, matrice d’un conformisme étouffant et délétère ? ». Ce podcast fait référence à Alana Newhouse. Cette dernière vient de publier un texte qui détonne dans le paysage médiatique américain, paralysé par la vague dite “woke”. Pour la fondatrice du magazine Tablet, la vie culturelle et sociale de son pays est en ruines. Une idéologie monochrome et normative bride désormais toute créativité.
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En FRANCE …
Tous secteurs confondus, moins les dirigeants sont à l’aise avec les complexes post-coloniaux et leur rapport à l’ISLAM, voire leur xénophobie, plus la tentation est grande de se cacher derrière une façade de tolérance. Ils imposent, ou laissent faire leurs équipes les arrangements avec le fait islamique.
Il s’agit des espaces de prière consentis, des aménagements de planning, des renforts d’intérimaires lors de ramadan, le renoncement à la promotion des femmes au poste de management, etc. Ces arrangements clivent et coûtent.
Ils dégradent la confiance inter salariés et la performance des équipes. Voir l’interview sur SUD RADIO, avec notamment la distinction fait religieux et système islamique. Cliquer ici
IMPACT SUR LA VOCATION DE L’ENTREPRISE
Dans les deux cas ci-dessus relatifs aux arrangements avec la culture Woke et l’Islam, l’entreprise dévie de sa vocation.
L’ENTREPRISE DEVIENT IDEOLOGIQUE
Prônés par le monde académique, les arrangements avec les militants islamiques et ceux du Woke deviennent courants.
Les grandes écoles et les « Business Schools » l’enseignent au sein des programmes et départements intitulés notamment Diversité & Inclusion.
En cohérence avec leur mission auprès des entreprises, ne conviendrait-il pas que ce monde académique appelle ces nouveaux départements Diversité & Performance et refondent leurs programmes en cohérence ?
Comment se débarrasser de ces idéologies contre-productives ?
L’expérience récente avec les entreprises concernées est plutôt rassurante. Elle révèle une voie managériale simple et efficace. Il s’agit de la réactivation des talents en termes tant de rigueur que de pédagogie, d’empathie et de vraiment rencontrer l’autre pour :
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Briser le tabou et en parler librement en Codir,
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Mettre les peurs sur la table et les exprimer,
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Diagnostiquer et mesurer l’impact de l’application de ces idéologies, en termes de coûts, de gestion, de qualité de relation inter salariés, de fluidité dans les processus opérationnels, de productivité, d’innovation, de compétitivité, d’image et d’attractivité,
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Identifier les initiatives d’anticipation et de traitement des dérives constatées,
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Constater les éventuelles ruptures de contrat et éjecter les porteurs de projets concurrents à ceux de l’entreprise,
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Mettre à pied et procéder au licenciement pour faute. Il y a notamment ceux parmi les activistes islamiques qui menacent physiquement leurs coreligionnaires non voilées. Il y a aussi ceux qui harcèlent en particulier les managers musulmans pour la collecte de l’aumône islamique (Zakat),
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Remettre en selle le management de proximité avec d’authentiques entretiens de progrès rythmés par les indicateurs de performance,
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Refondre le processus de recrutement, la grille et le panel pour les entretiens, pour qualifier les compétences techniques et les comportements en équipe,
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Passer au crible les valeurs déclarées de l’entreprise et leur incarnation dans les processus opérationnels,
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Ré aligner la vision et le projet de l’entreprise avec un comité de direction engagé et solidaire,