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Le déni, une illusion face au racket de l’entrisme islamique

La menace.

« Tu paies tout de suite, c’est 300 livres par jour et par personne. Sinon tu quittes le village ou tu es mort.». Fahmi, père de famille, n’a pas le choix. Ce 1er Juillet 2013, la taxe « Al-Jeziyah » est réactivée à Delga. C’est un « petit village » de plus de 50 000 habitants au sud de Minya près de Malawi en Haute-Egypte. Les frères musulmans aux commandes en Egypte depuis un an sont en train d’être chassés du pouvoir. Les attaques contre les chrétiens se multiplient, soixante-quinze églises sont saccagées et brûlées. Embuscade tendue, des pèlerins sont abattus sur leurs sièges dans un bus.  Les prises d’otage se comptent par centaines, à 300 000 livres l’otage, dix ans de salaire.

Dans ce contexte, la pharmacienne Rania, parce qu’elle est chrétienne subit un chantage terrifiant. Sous la menace, elle cède son outil de travail, sa pharmacie pour une bouchée de pain. En 2013, de telles histoires se comptaient par centaines.

Quelques mois plus tôt, la pharmacie de Rania était en feu. Des produits avaient disparu. Le propriétaire de l’immeuble faisait, à sa manière, pression sur Rania pour qu’elle cède le bail de sa pharmacie. Le syndicat des pharmaciens, tenu par les frères musulmans, la rassure : « nous allons te réparer ta pharmacie ».

A son tour Rania me rassure : « tu vois, ça se passe bien avec eux … ». Elle fait fi de mon appel à la prudence quant à la suite que je pressentais.

 

Le contexte.

Il est utile de savoir que le syndicat des pharmaciens en Egypte est tenu par les membres des frères musulmans alors que près de 80% des pharmaciens sont chrétiens. Cette incohérence est banale en Egypte. Le non-musulman, pour ne « pas faire de vague », « s’accommode » et « rase les murs ».

En France, dans les syndicats des transporteurs et ceux des opérateurs Telecom les syndicats sont désormais noyautés par les militants islamistes.

 

Quelles sont les conséquences ?

Pour Rania, ceux-là même qui l’avaient rassuré et réparé sa pharmacie, viennent la voir pour lui souffler : « tu sais, maintenant tu as intérêt à vendre, à céder ton bail ». En effet, la donne avait entre-temps changée. Une vague d’enlèvement en vue de racket, avait touché notamment les pharmaciens chrétiens.

Elle cède au quart du prix et en est ravi : « tu vois, je m’en sors bien. Je n’ai été ni tuée, ni violée, ni enlevée ».

Elle se retrouve fonctionnaire à l’hôpital avec sa fille qui était sensée reprendre sa succession à la tête de sa pharmacie.

Deux projets professionnels sont brisés, néanmoins elles sont contentes de survivre.

 

En France, quel est le rapport de force en entreprise face aux activistes islamiques, syndiqués ou non ?

Quand dans les ateliers de Renault, un militant islamiste interpelle une consultante de passage en lui disant : « rentre chez toi, va couvrir ta tête », quel est le degré de pression sociale reconnu par les dirigeants ?

  • Qu’est-ce qui brouillerait la perception des managers et des DRH ?

  • Qu’est-ce qui verrouille la liberté de pensée, d’être et de parole ?

  • Comment stopper la dégradation de la relation et du climat social ?

 

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