Mon parti pris!

Les deux sujets de ce blog ont pour points communs, le développement, le collectif, l’équité, le respect de soi-même et des autres.

Mon parti pris pour le défi PALESTINE est que le respect a manqué dès 1917, dès le début du drame de la colonisation. Nous héritons aujourd’hui les conséquences désastreuses de l’absence de Respect des colonisateurs vis à vis des autochtones, les Palestiniens, et de l’absence d’une vision commune.

Mon parti pris face à l’ENTRISME ISLAMIQUE en entreprise est que face à tout entrisme improductif, islamisme ou autre, c’est la force du projet et la légitimité du dirigeant d’entreprise qui font la différence. Sans elles, les lois et les règlements resteraient rangés dans des tiroirs.

Ces deux cas confirment que Sionisme et Islamisme sont deux projets nihilistes.

Il me semble urgent de se prémunir contre la dégradation généralisée, sociétale et économique.

Quelle différence y aurait-il entre un projet étatique et un projet d’entreprise ou d’autres projets notamment associatifs, sportifs, culturels, éducatifs… ?

Pour un projet fort, tous secteurs confondus, les points communs sont nombreux.

En alternative à la guerre permanente au sein d’un comité de direction ou au Proche-Orient, il y a la possibilité pour :

• Un nouveau leadership de réussite partagée et d’une autre gouvernance,
• L’intégration de tous les acteurs concernés pour une vision commune et partagée, équitable et bénéfique à tous sans exclusive,
• La motivation à sortir de l’impasse, de la spirale de l’échec tant pour les acteurs internes que pour les investisseurs, le public concerné, les partenaires, etc.
• La feuille de route opérationnelle pour des ambitions partagées entre les gouvernants et les équipes,
• Les indicateurs de performance qui permettent à chacun et au groupe de savoir en toute transparence où il en est,
• Les critères de réussite qui précisent les prérequis et les rôles de chacun et des budgets à tenir,
• La légitimité des acteurs concernés dans leurs rôles et responsabilités respectives, etc.

Au fur et à mesure de l’inventaire des tabous, des haines, des témoignages, des références historiques et des questions de coaching, le nouveau leader aura je l’espère, affûté sa conscience sur le sujet, identifié et dépassé ses peurs éventuelles, libéré sa parole pour un échange productif avec les autres.

La démarche, le processus et les outils sont disponibles dans la quatrième partie du livre sur la Palestine, cliquer ici https://diversite-performance.com/2024/09/02/gaza-un-livre-pour-changer-de-paradigme/