La majorité des juifs ne s’identifient pas à Israël. Ils le manifestent bruyamment partout dans le monde et sur place à Tel Aviv.
Nos habituels antisémites devraient l’intégrer.
JUDAÏSME ET SIONISME SONT INCOMPATIBLES
Si le judaïsme incarne l’humanisme, le sionisme s’auto-détruit.
Il se consume par son inhumanité.
Dans son entretien avec Pascal Boniface, directeur de l’IRIS[1], Yakov M. Rabkin[2] incarne l’opposition juive au sionisme. Cliquer ici.
LES COMPEXES HERITES ET LA PEUR BROUILLENT LA PENSEE
En effet, à coup de culpabilité Shoah et de Fatwa « antisémite », la peur de l’image de soi gangrène la pensée occidentale.
Les chrétiens en tête.
Il en résulte un plus grand nombre de chrétiens sionistes que de juifs sionistes. D’après un sondage de proximité, la proportion dans les familles chrétiennes est supérieure à 60%.
Forte de la complicité occidentale de facto y compris celle de la suisse, sournoise parce que silencieuse sous couvert de neutralité, l’entité sioniste est devenue championne olympique du crime.
Entre deux complicités de crime contre l’humanité, pour se dédouaner en perspective électorale, les USA jettent 38 000 rations alimentaires pour 2 000 000 de Palestiniens en risque avancée de famine.
HEUREUSEMENT, LE DISCERNEMENT PELED AGIT
Miko Peled est né à Jérusalem en 1961 dans une famille intimement liée à l’histoire d’Israël.
Son père général Peled, héros national à la guerre de 1967, a plus tard regretté son rôle dans la guerre de 1967 et a poursuivi sa carrière en tant que membre de la Knesset pour un parti politique judéo-arabe de gauche. Il a consacré les dernières décennies de sa vie à promouvoir une solution pacifique au conflit israélo-palestinien.
La famille de Miko Peled n’est pas étrangère à la violence de ces dernières décennies entre Israéliens et Palestiniens : la nièce de Miko Peled, Smadar (14 ans), a été tuée dans un attentat suicide en 1997 à Jérusalem. Sa mère, Nurit Peled, a mis le blâme sur le désespoir des Palestiniens engendré par l’occupation militaire israélienne des territoires palestiniens depuis des décennies.
La tragédie a incité Miko Peled à approfondir l’histoire du conflit israélo-palestinien. Dans ses rencontres avec les Palestiniens, il explore des solutions potentielles. Ses réflexions personnelles incitent à la réflexion en vue d’une approche optimale pour briser le cercle vicieux.
Prochainement, une démarche et des clés pour libérer la pensée et l’action dans le livre : “PALESTINE. Fin du mécanise du rejet. Chroniques d’un militant pour un nouvel horizon”
[1] Institut de relations internationales et stratégiques
[2] Au nom de la Torah : Une histoire de l’opposition juive au sionisme. Les Presse de l’université, Laval. 2004
La tragédie a incité Miko Peled à approfondir l’histoire du conflit israélo-palestinien. Dans ses rencontres avec les Palestiniens, il explore des solutions potentielles. Ses réflexions personnelles incitent à la réflexion en vue d’une approche optimale pour briser le cercle vicieux.