
LES PARODIES HONTEUSES DE “RECONCILIATION”
En Egypte, face au défi économique et démographique, le Président Sissi et son équipe réalisent des performance saluées par le FMI. Malheureusement, malgré des efforts considérables, c’est encore l’échec de la révolution des mentalités. Fin décembre 2014, devant les autorités religieuses d’Al Azhar et des centaines d’imams et oulémas, le Président avait exigé une réforme du discours religieux islamique. Voir la vidéo du discours du Pdt Sissi à Al Azhar.
En effet, l’échec face à l’islam fanatique se matérialise encore aujourd’hui par des crimes anti-chrétiens. Ils se succèdent à petit rythme dans la plupart des gouvernorats. Ill s’agit dit-on de « déséquilibrés » ! En toile de fond il y a le quotidien fait de ségrégation, de harcèlement et d’humiliation. Sur ce 3ème registre, le processus institutionnalisé dit de la « réconciliation » est remarquable.
Les parodies de « réconciliation” sont des scènes honteuses.
Elles mettent au même niveau la victime et l’agresseur. Les trop nombreux cas sont du même modèle : une chrétienne et un musulman fanatique. Le clergé copte orthodoxe et l’état contraignent la victime de se soumettre et d’accepter. Ce système institutionnalisé pour soi-disant endiguer le communautarisme est la honte Egyptienne.
Et, in fine ce système accentue le clivage sociétal.
LA HONTE A L’OEUVRE EN FRANCE
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Cette honte se propage en France lorsqu’une DRH de La Poste baisse les yeux suite au refus du syndicaliste salafisé de lui serrer sa main tendue vers lui. Ils allaient, ensemble, participer à une réunion utile aux salariés.
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Cette honte se propage en France lorsque les médiatrices de Technologia, société spécialisée en RH et Bien Être au travail, sont expulsées par les membres islamiques fanatisés du CSE. Elles avaient le tort d’être des femmes.
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Cette honte se propage en France lorsque sous la pression sociale interne noyautée par les activistes islamiques, l’INA renonce à promouvoir une femme au poste de manager.