Skip to main content
InformationsLeadership TransformationOutils

Gaza, la feuille de route pour Isaac Herzog Président d’Israël

Cette chronique concerne uniquement la feuille de route pour le Président d’Israël Isaac Herzog. Une autre concernera le Président de l’Autorité Palestinienne, Mahmoud Abbas, alias Abou Mazen.

Ces deux propositions sont des outils de travail.

Elles complètent les ressources relatives aux ateliers mixtes, israélo-palestinien, décrits dans la quatrième partie de mon livre en page 229-246.

Ces ateliers ont pour vocation de faire émerger la feuille de route commune.

La feuille de route d’Isaac Herzog démarre dans la localité de Jit.

D’après de trop nombreux de faits relatés, tant les colons illégaux fanatiques que les soldats de Tsahal, la population israélienne est en perte de sens, d’humanité, d’éthique, de valeurs, d’identité.

Cela n’a pas échappé au Président d’Israël.

« Je condamne fermement le pogrom de ce soir en Samarie [1]»

Isaac Herzog, déclaration du Président d’Israël ce 15/8/2024

La condamnation pour « pogrom » du Pdt israélien est une ouverture sans précédent. Le devoir de mémoire devient possible, aussi pour dire les choses comme elles sont.

Au lieu de maintenir l’état de guerre comme le prédit Ami Ayalon, l’ex-patron du Shin Beth[2], le Président a la possibilité d’être celui qui aura réussi à transformer l’enfer en référence mondiale sociétale et économique.

Regardons les faits en Palestine et dans le Monde

Les pogroms à l’encontre des Palestiniens durent depuis 77 ans.

Ce tout récent pogrom se passe à Jit, un petit village situé entre Naplouse et Qalqilya. C’est en Cisjordanie occupée par Israël. Les colons israéliens portent tous le même uniforme sombre. Ils opèrent une « descente ».  Certains parmi eux sont à visages découverts.

Les colons incendient des véhicules et détruisent l’intérieur d’une maison, avec un début d’incendie. Au passage, ils tuent Mahmoud Abdel Qader Sadda, 23 ans, et blessent gravement un autre palestinien.

Habituellement les exactions des colons illégaux (arrachage d’olivier, vols de bétail, destruction des maisons, incendies des voitures, agression et meurtre de palestinien, etc.) sont couvertes par l’armée d’occupation israélienne.

Pas ce soir du 15/8/2024 à Jit.

Les voitures brûlées ont leur cimetière.

Elles se comptent par centaines, idem pour les habitations.

Des styles différents pour éliminer les Palestiniens du paysage israélien

A Gaza, comme détaillé dans les précédentes chroniques, Tsahal déploie toute la panoplie du Génocide, « tuer pour tuer, on ne discute pas de l’objectif mais de la méthode pour tuer … » comme le précise Ami Ayalon : tir ciblé, bombardements, massifs, destructions des infrastructures et ressources de vie, destructions des lieux de prières et de recueillement (mosquées, églises et cimetières), déportation des survivants du nord vers le sud et inversement, etc.

En Cisjordanie, c’est différent. Il s’agit d’une zone d’apartheid.

Tsahal a pris pour habitude d’investir régulièrement des maisons de Palestiniens. Ils y installent pour 36-48h un poste d’observation et de tir. Cela donne le temps de chasser les occupants, de détruire les intérieures, in fine d’écœurer les Palestiniens d’y vivre. Une action du même type a eu lieu ce matin du 20 août 2024 à Ramallah. Au passage, un des soldats israéliens détruit un transformateur électrique.

En juin dernier le décompte des Palestiniens tués par des colons illégaux en Cisjordanie dépassait déjà le score de 500. Crescendo, tués à coups de « petits pogroms de type Jit » en Cisjordanie, 1-3 tués par « descente », le nombre de tués est à ce jour de 683. [3]

A Jérusalem-Est, c’est plus discret, néanmoins efficace.

L’éviction des Palestiniens passent par la démolition de leurs logements.

Entre 2004 et 2020, Israël a démoli ou contraint les propriétaires à démolir 1 097 maisons à Jérusalem-Est, laissant 3 579 personnes dont 1 899 mineurs sans abri.[4] Ente « démolitions préventives et « démolitions punitives », Israël justifie ces démolitions pour des « raisons militaires ou administratives ».

 

Soulèvement du monde entier

Le mécanisme du rejet ne marche pas avec un seul agent actif, mais deux. Victime et bourreau, chacun effectue son travail, y compris ladite victime. C’est ce que je décode dans mon travail, réf le livre ci-contre [5].

A ce stade, le diagnostic complet du mécanisme du rejet est utile pour développer des alternatives bénéfiques aux populations concernées.

En attendant, Israël a réussi à être le pays haï de la Terre. Et, c’est le cas dans des endroits en Afrique, Asie, Océanie qui ne savent même pas ce qu’est un juif. Cependant, pour l’avoir rudement subi ils savent ce qu’est le colonialisme.

Le soulèvement prend toutes les formes possibles, sauf à ce jour un embargo sur les armes.

Voir en Annexe 1, les différentes formes de soulèvement. Elles sont à minima à hauteur de la sophistication créative de « comment tuer » développée par Tsahal et dénoncée par Ami Ayalon.

 

Autodestruction de la société israélienne

La poursuite intensive depuis plus de onze mois des destructions, des déportations et des tueries de masse a des conséquences.

  • Elle a stoppé l’activité économique[6] civile et miné en profondeur les acteurs de ces crimes.

  • Les agences de notation (Moody’s, Fitch, Standard & Poor’s) revoient à la baisse la note d’Israël.

  • La dépendance quasi-totale vis-à-vis des USA retire tout sens autre qu’impérialiste à Israël.

  • Des centaines de blessés sont désormais handicapés physiquement et mentalement.

  • Les soins psychiatriques explosent en quantité.

  • L’addiction à la drogue en dope son trafic et ses réseaux.

La perte de sens et l’absence de vision de soi induit la déchéance, la décadence.

Ami Ayalon, ex-chef du Shin Beth en témoigne.

Cliquer ici 

La tentation de Massada.

« La Question devient de plus en plus meurtrière. Aucun de nous ou de lui peut apporter une solution.  Comme en 1938-1944 c’est une guerre entre les grandes puissances. »

Un ami juif inspiré par la destruction de tous, le mythe de Massada

Suivant les textes, Massada est un complexe, un syndrome, un mythe …

« Le « complexe de Massada » est fondamentalement une attitude pathologique qui évoque le rapport israélien à la faiblesse (comme le « syndrome de l’Holocauste » ou le « complexe de Samson »), c’est le sentiment d’être en permanence à la portée d’une menace grave, menaçant son existence même. »

Wikipédia[7]

 

La citadelle de Massada existe bien.

Elle se dresse sur les rives droites de la mer Morte, côté israélien.

« Massada est le lieu du suicide collectif de ses habitants qui, assiégés par les Romains, choisirent de mourir plutôt que de se rendre à l’ennemi. »

Le mythe de Massada

Quelle est l’alternative à Massada ?

Il n’y aura ni guerre mondiale ni disparition des juifs.

Cependant, c’est inéluctable, il y aura une transformation d’Israël.

Modulo le soutien indéfectible des Américains, le monde se soulève contre Israël. Un changement en profondeur de la vocation et de la vision de cet état s’impose.

Y-a-t-il la possibilité d’une nouvelle entité avec une constitution, un état démocratique, laïc ?

 

Quels sont les éléments à REMETTRE AU PDT ISAAC HERZOG pour une FEUILLE DE ROUTE POUR LA PAIX JUSTE EQUITABLE ET DURABLE ?

ET

 COMMENT APPLIQUER LE COMMANDEMENT DE LA COUR INTERNATTIONALE DE JUSTICE ?

 

La possibilité d’un nouvel état !

L’idéologie sioniste a abouti en 1948 à la création d’Israël pour les juifs tout en excluant les autochtones, les Palestiniens. C’est l’aboutissement du Plan de Partage préconisé par les Britanniques sous la pression sioniste. En effet, l’autre plan dit Plan pour un Etat, la gouvernance en était soumise à un référendum. Or la démographie était à cette époque favorable aux Palestiniens. La gouvernance dudit état risquait donc d’être à dominante Palestinienne. Les leaders sionistes ont refusé ce risque et ont imposé le Plan de Partage.

C’est le démarrage d’une injustice structurelle.

Cette injustice est depuis 1948 le ferment actif des inévitables échecs du sionisme : échec colonial, échec militaire, échec sécuritaire, échec démographique, échec sociétal, échec régional, échec de citoyenneté.

Alors, pour neutraliser cette injustice structurelle :

  • Ce nouvel état abrogera le commandement n° 40 dicté par Ben Gourion le 25 novembre 1948 (expulsez, chassez, tuez).

  • Cet état respectera le droit international et exécutera les 72 résolutions en attente.

  • Il appliquera aux Palestiniens le droit du retour.

  • Il restituera tous les territoires annexés et pris en mode « fait accompli » à ses voisins. Il y a notamment, Jérusalem-Est, le Golan pour la Syrie, les fermes de Shebaa pour le Liban, Omm Rash Rash (Eilat) pour l’Egypte.

  • Il procédera à un devoir de mémoire, voir les éléments en ANNEXE 2

  • Il mettra en place un système équitable pour les reconstructions et indemnisations. Voir les détails en ANNEXE 3.

Ce faisant avec les atouts et les ressources recensés dans la 3ème partie de mon livre, et la démarche propose en 4ème partie, l’entité entre le Jourdain et la mer sera une référence mondiale sociétale et économique, peuplée de juifs, musulmans, chrétiens, athées, bouddhistes etc. sans ségrégation.

Adel Paul Boulad,

Consultant international Diversité Performance

Auteur du livre : « Palestine, fin du mécanisme du rejet. Chroniques d’un militant pour un nouvel horizon »

ANNEXE 1 – Soulèvement du monde entier

Réalisés au grand jour, ces crimes génèrent,

  • Des condamnations tous azimuts (TIJ, CPI, ONU, Human Rights Watch, des états, etc), des démissions d’officiels, des arrêts de collaboration jusqu’à obtention d’un cessez-le-feu (Ecosse, Irlande, Norvège, Slovénie, etc.). Des rappels d’ambassadeur (Brésil, Afrique du Sud, Chili, Colombie, Jordanie, …)

 

Au risque de perdre leurs contrats, de nombreuses stars rejoignent le mouvement de protestations.

   

Bella Hadid                                       Roger Waters (ex PinkFloyd)

  • Des manifestations partout dans le monde, avec en exergue des drapeaux Palestiniens géants sur les édifices et …

Plus de 400 juifs américains envahissent le Capitole pour dénoncer le « génocide et le criminel de guerre » de B Netanyahou alors en visite.

Les jeunes juifs sont arrêtés, y compris Jill Stein, juive américaine candidate aux élections présidentielles US.

   

Cette dernière déclare :

La pression des démocrates commence à infléchir le discours de la candidate Kamala Harris.

Il lui manque de passer à l’acte.

La menace du TPI se fait aussi ressentir. La Grande-Bretagne est secouée. Des haut-dignitaires démissionnent pour ne pas être complices de génocide.

Le Parlement écossais écarte tout échange avec Israël tant qu’il n’y a pas un arrêt du Génocide. L’Irlande est ferme sur le sujet, idem pour l’Espagne, la Slovénie, la Norvège, etc.

 

 

  • Les manifestants adoptent la Dabké, danse Palestinienne[8],

Dabké signifie taper sur le sol. Le rythme est simple, en 4 temps. La gestuelle varie selon la personne. En groupe, la gestuelle est unifiée.

Les manifestants l’exécutent lors des manifestations de soutien àla résilience palestinienne que loors des regroupements culturels (Pays Basque, Espagne, Italie, …) lors des manifestations sportives comme ce médaillé « or » dans un tournoi Wushu Kung Fu en Turquie, etc.

Divers auteurs écrivent des textes de chansons sur le rythme Dabké. Certaines sont des chants militants, notamment la plus connue à ce jour : Leve Palestina.

C’est George Totari un Palestinien de Nazareth émigré en Suède qui l’a écrite dans la langue de son pays d’accueil. [9]

Aujourd’hui, des millions de manifestants par le monde, la reprennent en chœur.

Cette danse est mise en parallèle avec celle des Indiens. L’image fait le tour du monde.

Pour écouter et danser, cliquer ici 

Le monde ne comprend pas que les descendants de la Shoah (1943-45), aient provoqué en 1948 une des plus grandes catastrophes humanitaires (tués, blessés, terrorisés, expulsés…) à l’encontre de la population palestinienne qui n’avait rien à voir avec la Shoah. De surcroît, cette catastrophe prend la tournure d’un génocide, notamment à Gaza.

 

 

 

 

  • Des annulations de partenariats avec les universités israéliennes. Les universités du Commonwealth mènent la danse. La dernière en date concerne l’Australian National University, à Camberra). Un vote à mains levées entérine la rupture des liens avec l’Université hébraïque de Jérusalem. [10]

ANNEXE 2 – Devoir de mémoire, et ré éducation idéologique

Avec le film documentaire Tantura du réalisateur israéleine Alon Schwarz, Isaac Herzog le Président d’Israël, tient le début d’une refonte de la pensée. Les nonagénaires de ce film témoignent de leurs exactions en 1948 dans la localité de Tantura. C’est au nord d’Israël juste au sud de Haïfa.

Le site « De Coloniser » animé par Eitan Bronstein et Eléonore Merza utilise ce documentaire pour ses ateliers.[11]

 

Le Président Herzog aura à,

  1. Faire condamner ceux qui menacent de mort le réalisateur du documentaire et ses témoins,

  2. Mobiliser une équipe en vue d’une tournée « Devoir de Mémoire ». L’équipe sera composée de témoins (Yaacov Sharett, les anciens patrons du Shin Beth, Shabak et Mossad) et historiens israéliens de la nouvelle génération (Shlomo Sand, Ilan Papé, etc.), en les faisant revenir sous protection en Israël.

  3. Organiser et produire des conférences et des ateliers de réflexion sur le sens de ce qu’est un état citoyen régional avec des habitants citoyens.

ANNEXE 3 – Les reconstructions et indemnisations

En cessant d’être “le porte-avion américain insubmersible sans GI à bord”, le nouvel état recevra le même budget pour la Reconstruction, matérielle et immatérielle.

  • Cet état fera son devoir mémoire en restituant ou en indemnisant les victimes, ou leurs descendants, des tueries et expulsions exécutées en 1948. [12]

  • Pour ce faire, les 700 000 réfugiés de la Nakba, représentent environ 100 000 familles. Estimation : un million de dollars par famille, ou un package comportant une maison, un terrain de 500m², la scolarité gratuite pour les jeunes de moins de dix-huit ans et une formation professionnelle d’un an minimum par adulte.

  • Par ailleurs, il fera aussi un devoir de vérité. Tous les lieux « débaptisés » seront renommés avec leur nom d’origine. Les deux coexisteront, par exemple Omm Rash Rash & Eilat

  • Chaque prisonnier palestinien sans exaction de fait commun avéré recevra un forfait de base de 10 000 $ et 300 $ par jour d’emprisonnement.

EN CISJORDANIE ET JERUSALEM-EST

  • Chaque famille illégalement installée en Cisjordanie financera une maison et un terrain pour une famille palestinienne, ou versera un forfait de 30 000 $ par famille.

  • Chaque colon arracheur d’olivier replantera l’arbre arraché, et indemnisera le paysan Palestinien concerné par un hectare arable par arbre.

  • Chaque colon voleur de bétail rendra le bétail volé et indemnisera d’un hectare pour dix têtes volées.

  • Ces mêmes colons procéderont ou financeront la démolition des murs de séparation et autres check points militaires,

A GAZA

Chaque survivant d’une famille touchée par le nettoyage ethnique touchera une indemnité de 15 000 $ de soin, de reconstruction personnelle et bénéficiera d’une formation professionnelle en vue d’un job pré-identifié.

Gaza sera reconstruite et viabilisée avec les fonds libérés des « obligations militaires » américaines :

  • 20 000 immeubles,

  • 200 écoles, cinq universités,

  • Deux centres de recherches : eaux côtières, énergie.

  • 120 lieux de prière et cimetières,

  • 50 édifices publics,

  • Cinq stations de désalinisation d’eau de mer,

  • Trois stations d’assainissement et réseau d’eau potable,

  • Deux centrales électriques,

  • Un port en eau profonde, pour cargo et tanker de 80 – 100 000 tonnes, équipé d’un double brise-lame

  • Une zone de production d’industrie d’équipement et de logistique associée au port,

  • Un aéroport pour lignes internationales, tour de contrôle

  • Un réseau de transport urbain complet (bus – tram)

  • Une station principale de chemin de fer vers le Sinaï, vers Jérusalem et Amman, vers Beyrouth-Damas,

  • Un réseau de routes et autoroutes suivant les directions ci-dessus

[1] La Samarie, dénomination coloniale d’origine biblique, est en fait la partie nord de la Cisjordanie, en arabe c’est plutôt un nom géographique الضفة الغربية،   soit en français « rive occidentale » (du fleuve du Jourdain).

[2] https://diversite-performance.com/wp-content/uploads/2024/08/Ami-Ayalon-interview-by-Christiane-Amanpour_CNN.mp4

[3] le Haut-Commissaire des Nations Unies aux droits de l’homme. Réf https://turkiye.un.org/en/270571-more-500-palestinians-killed-occupied-west-bank-un-rights-chief Aussi réf à : OCHA-OPT, UNICEF, WAFA News Agency, Quds News Network : OCHA-OPT, UNICEF, WAFA News Agency, Quds News Network, ministère palestinien de la santé (à Gaza et en Cisjordanie), ministère palestinien de l’éducation (en Cisjordanie et dans la bande de Gaza), Haaretz (quotidien israélien), B’Tselem, Out of the Flock (activistes des collines du sud d’Hébron), Activism in Palestine (Mistaclim Lakibush ba-Enayim dans le sud de la vallée du Jourdain), Euro Med Human Rights Monitoring, New York Times, The Guardian, The Palestinian Ministry of Communication.

[4] Réfi in Wikipédia, https://urlz.fr/rMJn

[5] Livre disponible en trois jours chez le diffuseur www.publishroom.com

[6] Voir le bilan dans la chronique « Gaza, éradication des enfants »

[7] https://fr.wiktionary.org/wiki/syndrome_de_Massada

[8] Dabké est inscrit au nom de la Palestine, au Patrimoine Universel de l’Unesco. https://www.youtube.com/watch?v=VBQx3BXZ_74

[9] https://www.tsa-algerie.com/leve-palestina-la-chanson-qui-a-rendu-virales-des-manifs-pro-palestiniens-en-europe/

[10] https://europalestine.com/2024/08/16/australie-apres-100-jours-de-campement-les-etudiants-votent-pour-la-fin-du-partenariat-avec-israel/

[11] Réf sur https://diversite-performance.com/wp-content/uploads/2024/05/Eitan-Bronstein-Aparaccio_Resume-des-massacres-sionistes-en-1948-et-avant.mp4

[12] Al Majdal (la future ville d’Ashkelon) et… Pour la période allant du 12/12/1947 au 1er janvier 1949, dans l’émission produite par DE-COLONIZER, Eitan Bronstein Aparicio et Eléonore Merza Bronstein recensent, datent et documentent jusqu’à trente massacres perpétrés par les milices et l’armée israélienne: Khisas ;Safad ;Sa’sa; Ramle; Jerusalem ; Husseiniya; Deir Yassin; Abu Zureiq ; Tiberia ; Haifa ; Jaffa ; Kafr Ana ;  Ayn Az Zaytoun ; Baysa ; Tabigha ; Aqir ; Sejera ; Burayr ; Sabbarin ; Sumsum ; Abu Shush ; Kabri ; Tantura ; Zarnuqa ; Lydda ; Ijzim ; Tarshiha ; Eilabum ; Jish ; Al Araqib.

Le massacre de Tantura perppétré dans la nuit duu 22 au 23 mai 1948 a fait l’objet d’un film documentaire israélien, cliquer ici. Tantura est un des 70 massacres perpétrés pendant la Nakba (Fureidis, Shifia ; Tzeruta ; Kafr Lam, A-Sawamir, Khirbat al Manara; Ein Ghazal ; Khirbat Al Ma-Manshi ; Maqura ; A-Sarafand ; Jaba ; Umm a-Tut ; Ein Ayala ; Zamarin ; etc.). Les villes palestiniennes notamment de Haïfa, Tibériade, Beït Shéan, Safed, Jaffa et Acre perdent 90 % de leur population arabe. Les annexions par Israël se multiplient.  Réf sur https://diversite-performance.com/wp-content/uploads/2024/05/Eitan-Bronstein-Aparaccio_Resume-des-massacres-sionistes-en-1948-et-avant.mp4

Leave a Reply

S'abonner
Soyez toujours informé
des nouveautés